#Association - Les 54 ans de l'Association des pharmaciens juifs de France (APJF)

Cette année encore, le gala réunissait 350 personnes sous la présidence pour ce millésime du ministre de l'économie et des finances , Monsieur Bruno Le Maire.

Assistaient également à l’événement le Grand Rabbin de France, Haim Korsia, la ministre Nicole Guedj, Meyer Habib, Député des Francais à l'étranger, Francis Kalifat, Président du Crif, le Professeur Emmanuel Messas, Président d'Hadassah France ainsi que de nombreuses personnalités du monde pharmaceutique démontrant par leur présence l'attachement sans cesse renouvelé aux causes  de l’APJF .

L’APJF, association fondée en 1964, compte aujourd’hui plus de 2000 membres et se voit rejoindre d’année en année, sous l’impulsion de son Président Ariel Amar, par de plus en plus de pharmaciens n’appartenant pas à la communauté, mais partageant le même amour de la tolérance et la même conscience professionnelle.

Les personnes présentes ont assisté à un véritable festival d'annonces, le tout dans une ambiance amicale et chaleureuse, ce grand gala étant la démonstration, s’il en faut, de l'esprit solidaire qui est celui de la profession de pharmacien.

Les échanges face à face  entre le conseil de l’ordre, les syndicats, les laboratoires , les groupements de pharmaciens furent constructifs mais sans concessions. A la suite de l'intervention du Grand Rabbin de France, Ariel Amar a dans son allocution  fait  part  des préoccupations et enjeux de la profession.

Le ministre Bruno Le Maire y a répondu avec beaucoup de spontanéité. "Je ne suis pas favorable à la libéralisation  à outrance du monde de la pharmacie " , a-t-il précisé et de compléter : "il n'y aura aucune disposition sur les pharmacies dans la loi que je proposerai au conseil des ministres le 18 avril 2018 ! «  

Bruno Le Maire s’est également tourné vers les organisations pharmaceutiques et a exprimé le vœu que des pistes de développement soient explorées en France comme en Israël et entre ces deux pays amis.

A plus de minuit la salle de réception était encore pleine, personne ne voulant mettre un terme à ce grand moment de communion annuelle.