Sophie Taïeb

Bloggueuse et rédactrice

Le BDS n'a plus le monopole de la rue.

29 Mars 2016 | 30 vue(s)
Catégorie(s) :
Antisémitisme

Il y a 80 ans, le 7 juin 1942, la législation instaurant l'étoile jaune était mise en place. À cette occasion, découvrez 4 articles sur la façon dont Serge Gainsbourg, Jean Ferrat, Sacha Distel et Marcel Gotlib ont vécu le port de l'étoile jaune.

Ces articles sont proposés par Bruno Halioua, et issus de son livre «Leur Seconde Guerre Mondiale», (édition Buchet Chastel - 2020). Dans ce livre, il s'intéresse à la façon dont certaines personnes célèbres ont vécu les événements marquants de la Seconde Guerre Mondiale.

Il y a 80 ans, le 7 juin 1942, la législation instaurant l'étoile jaune était mise en place. À cette occasion, découvrez 4 articles sur la façon dont Serge Gainsbourg, Jean Ferrat, Sacha Distel et Marcel Gotlib ont vécu le port de l'étoile jaune.

Ces articles sont proposés par Bruno Halioua, et issus de son livre «Leur Seconde Guerre Mondiale», (édition Buchet Chastel - 2020). Dans ce livre, il s'intéresse à la façon dont certaines personnes célèbres ont vécu les événements marquants de la Seconde Guerre Mondiale.

 

Il y a 80 ans, le 7 juin 1942, la législation instaurant l'étoile jaune était mise en place. À cette occasion, découvrez 4 articles sur la façon dont Serge Gainsbourg, Jean Ferrat, Sacha Distel et Marcel Gotlib ont vécu le port de l'étoile jaune.

Ces articles sont proposés par Bruno Halioua, et issus de son livre «Leur Seconde Guerre Mondiale», (édition Buchet Chastel - 2020). Dans ce livre, il s'intéresse à la façon dont certaines personnes célèbres ont vécu les événements marquants de la Seconde Guerre Mondiale.

Il y a 80 ans, le 7 juin 1942, la législation instaurant l'étoile jaune était mise en place. À cette occasion, découvrez 4 articles sur la façon dont Serge Gainsbourg, Jean Ferrat, Sacha Distel et Marcel Gotlib ont vécu le port de l'étoile jaune.

Ces articles sont proposés par Bruno Halioua, et issus de son livre «Leur Seconde Guerre Mondiale», (édition Buchet Chastel - 2020). Dans ce livre, il s'intéresse à la façon dont certaines personnes célèbres ont vécu les événements marquants de la Seconde Guerre Mondiale. 

Pages

Dimanche dernier, des militants du Collectif Anti Boycott se sont rendu face à une manifestation BDS.

 
Depuis que l'état d'urgence a été décrété, le vœu de la mairie de Paris prononcé, quels ont été les changements concernant les rassemblements BDS ?
Une militante a été arrêtée et entendue par la police. 
Des activistes ont été forcés de retirer leurs sweat shirts appelant au boycott en plein rassemblement. 
 
C'est un bon début. 
 
Néanmoins, et comme si de rien n'était, les rassemblements BDS continuent à Paris. Place Saint Michel le week-end, place de la République, place des Innocents (sic)... Ces ennemis d'Israël continuent à pavoiser comme si le vœu de la Mairie de Paris ou les lois anti boycott n'existaient pas, sans parler de l'état d'urgence. 
 
Alors les militants ont décidé de s'en mêler. 
 
Les boycotteurs manifestent ? Allons-y aussi. 
 
Avec Stop Boycott, nous nous sommes rendus en septembre face au BDS qui voulait perturber un match de basket, prouvant que leur action dépasse largement les "sanctions économiques visant à pénaliser les entreprises situées en territoires disputés". 
 
Suite aux différentes résolutions anti boycott adoptées et le fait que les rassemblements continuent, les militants se sont organisés et mobilisés. 
Cela a commencé il y a quelques semaines Place d'Italie avec des militants venus "contre tracter" face à des militants boycotteurs qui se sont liquéfiés sur place. Cela a continué avec Leslie, qui s'est filmée en prenant à partie les manifestants qui ont cherché à l'intimider aussi bien sur place que par la suite (des dizaines de menaces reçues après cette vidéo). 
Il y a eu aussi des vidéos humoristiques tournées lors de leurs rassemblements, qui sont devenues cultes sur les réseaux sociaux. 
Et dimanche, des militants du "collectif anti boycott"  ont décidé, dans le calme, d'aller à la rencontre des boycotteurs et de proposer un contre discours aux passants harangués par "les petits hommes verts". 
 
Aux contre vérités ânonnées jusqu'à la lie par les boycotteurs, les militants ont apporté un discours clair, argumenté, basé sur des faits. 
 
Continuons à leur apposer un discours de vérité. Ne les laissons pas occuper la rue, elle ne leur appartient pas. 
 
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