"L’Etoile jaune : il y a 75 ans !", par Thierry Noël-Guitelman

22 Mai 2017 | 485 vue(s)
Catégorie(s) :
France

Dimanche 13 janvier 2019, le Crif a organisé un voyage de mémoire à Auschwitz-Birkenau. Ensemble, au cours de cette journée, nous avons honoré le devoir de mémoire qui nous incombe et sommes devenus les témoins des témoins.

L'historien Laurent Joly publie un nouvel éclairage sur la collaboration de la France occupée à la déportation des juifs. Une œuvre magistrale.

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Actualité

Le 30 novembre, l’État d’Israël et les communautés juives du monde entier commémorent la Journée dédiée au souvenir de l'expulsion des Juifs des pays arabes et de l’Iran. A cette occasion, nous vous proposons la lecture de ce texte de Jean-Pierre Allali, vice-président de la JJAC (Justice for Jews from Arab Countries).

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires ! 

Martine Ouaknine est adjointe au Maire de Nice, déléguée au devoir de mémoire, à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, conseillère métropolitaine et départementale, présidente honoraire du Crif Sud-Est.

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Opinion

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Thierry Noël-Guitelman est un journaliste, membre de l'association Hébraïca à Toulouse. Il a engagé, en 2004, des recherches familiales sur l'étoile jaune, sa tante Ida Seurat-Guitelman, ayant obtenu une exemption.

Le 29 mai 1942, il y a exactement 75 ans, la 8e ordonnance allemande imposait le port de l’étoile jaune aux juifs de zone occupée, dès l’âge de six ans.

Cette mesure discriminatoire entrera en vigueur, une semaine plus tard, le dimanche 7 juin 1942.
 
L’étoile jaune allait faciliter arrestations et déportations. Un formidable levier pour exécuter la « Solution finale ».
 
Alors que l’antisémitisme revient en force, cet anniversaire est l’occasion de ne pas oublier le rôle joué par ce marqueur. En réaction, certains n’ont pas porté l’étoile, d’autres ont pu obtenir son exemption. Un privilège très rare, accordé par les seules autorités allemandes. Une poignée de sauvetages sera permise avec son lot de compromissions et de trahisons : des protégées du maréchal Pétain, des responsables économiques, des indicateurs de police, des agents du contre-espionnage, des intermédiaires du pillage des oeuvres d’art.
 
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