Nos jours heureux/Blog du Crif - EEIF : pour le bien, toujours prêts !

26 Juillet 2019 | 117 vue(s)
Catégorie(s) :
France

Mon discours à la cérémonie d'hommage aux Juifs engagés volontaires qui s'est tenue le 15 octobre 2017 au cimétière de Bagneux.

Dans ce courrier, j'ai félicité Audrey Azoulay pour son élection. J'ai également attiré son attention sur les positions récentes de l'Unesco sur Jérusalem et commente les relations passées de l'organisation avec le Crif.

Mardi 10 octobre 2017, j'ai été reçu par le Ministre de l'Europe et des Affaires étrangères pour un long tour d'horizon.

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#BlogDuCrif - Devoir de mémoire
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20 Septembre 2017
Catégorie : France

Il y a 76 ans, le 15 décembre 1941, 69 hommes ont été fusillés au Fort du Mont Valérien à Suresnes, dans les Hauts de Seine par les autorités d’occupations allemandes. Ces hommes, français et étrangers, furent arrêtés par les forces de polices françaises de la Préfecture de police du département de la Seine (à l’époque).

Je vais vous raconter l’histoire de Moritz Singer, mon oncle, le frère de ma mère, un de ces fusillés.

En 2017, Roger Pinto, sa femme et son fils ont été séquestrés, violentés et détroussés à leur domicile de Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis), "une agression antisémite" condamnée par le Crif et le ministre de l'Intérieur. Une première ?

"Je m’en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante, la plus étourdissante, la plus inouïe…"
 

 

"The strength of a Nation always lies in the the way it looks at its History and and its ability to teach it to future generations".

 

"La force d’une Nation réside toujours dans le regard qu’elle sait porter sur son histoire et sa capacité à l’enseigner aux générations suivantes."

 

En juin 2017, quelques mois après l'assassinat de Sarah Halimi, Francis Kalifat, Président du Crif, publiait cette tribune en hommage à Sarah Halimi, devenue le triste symbole de l'antisémitisme qui tue. 

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Opinion

Depuis plusieurs années, le cinéma international ne cesse de plébisciter les cinéastes iraniens. Asghar Farhadi en est l’exemple même. Cependant, certains réalisateurs n’ont pas la chance d’être autant ovationnés.

Pour leur cinéma engagé, frontal et dénonciateur du pouvoir politique et du régime iranien, grand nombre de réalisateurs iraniens ont été, pour les plus chanceux, contraint à l’exil, tandis que d’autres en détention, subissent le triste sort réservé aux prisonniers iraniens.

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Les jolies colonies de vacances... Il fait beau, il fait chaud, ça sent vraiment les vacances ! Cette semaine, nous vous proposons une série d'articles sur les mouvements de jeunesse juifs en France ! Aujourd'hui, découvrez le parcours d'une ancienne E.I. !

“Scout un jour, scout toujours !” disait la célèbre maxime. Aussi insensé que cela puisse paraître lorsque l’on devient scout, on le reste bel et bien ! Chaque expérience est unique, la mienne aux Eclaireuses Eclaireurs Israélites de France, est quant à elle mythique.

C’est à l’âge de 12 ans, que j’ai fait mon premier camp en tant qu’”éclais”. Après avoir franchi les échelons, c’est en tant que zadeck, pif, puis animatrice que mon parcours EEIF s’est déroulé. Plus qu’une simple colonie de vacances, les EEIF c’est une véritable famille, avec des valeurs qui, pour ceux qui y ont été, resteront ancrés toute une vie.  

Un peu trop dénigré de la part de certains, célébré par d’autres, ce mouvement de jeunesse a ce je ne sais quoi de singulier. 

Si beaucoup pensent que les EEIF se résument seulement à faire un trou dans la nature en guise de toilettes, à se doucher avec un jet d’eau glacé ou à dormir au milieu des insectes, ils n’ont pas vraiment tort mais tout est une question de point de vue. Et pour cause, les EEIF c’est une véritable famille, où l’on dort sous des tentes en harmonie avec la faune et la flore, où la douche est un véritable moment de partage et de rigolade, et dont l’ambiance nous fait oublier tous les petits désagrément d’une vie de 3 semaines sur un terrain au beau milieu d’un champ ou d’une forêt. 

Réputés pour avoir un langage “codé” que seul un EI peut comprendre, certains voient en ce mouvement de jeunesse un clan fermé où seuls les membres sont invités à écouter. 

Néanmoins, si ce langage paraît un peu farfelu, rassurez-vous, vous prendrez vite le pli.

Ainsi, comme une famille le ferait, les éclaireurs ou les bâtisseurs, se retrouvent chaque dimanche pour faire des activités, en camps d’hiver pour une semaine en février, et 3 semaines sur les camps d’été. 

Plus qu’une expérience, c’est un véritable moment de vie - pour ne pas dire l’école de la vie - que sont les EEIF. 

Le Crif vous propose :