Le Crif salue la décision historique du Président américain Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale de l'Etat d'Israël, et le transfert prochain de l'Ambassade des États-Unis.
Le Crif note avec soulagement que l'évidence du caractère antisémite du meurtre de Sarah Halimi est enfin reconnue. Cette décision est une satisfaction pour le Crif et la Communauté juive française. Lire la suite...
Le Crif prend note de la publication par Le Figaro d'informations indiquant que l'expert psychiatrique désigné pour examiner l'auteur de l'assassinat de Mme Sarah Halimi aurait remis son rapport au juge d'instruction. Lire la suite...
Le Crif condamne avec force l'agression très violente et antisémite dont à été victime une famille juive de Livry-Gargan séquestrée, ligotée, tabassée et volée à son domicile.
Following the Charlottesville anti-Semitic and Nazi demonstration, Francis Kalifat, President of CRIF (French Jewish umbrella organization), wrote to the Presidents and CEOs of major US Jewish organisations to express support and solidarity
Le Crif condamne sévèrement l'attaque terroriste perpétrée vendredi soir à Halamish, dans laquelle un terroriste palestinien s'est infiltré dans un foyer pendant le dîner du Chabbat et a sauvagement assassiné trois Israéliens.
Following the remarks of Marine Le Pen denying France's responsibility in the Vel d'Hiv roundup, CRIF denounces revisionist remarks which unveil the true face of the National Front.
Suite aux propos de Marine Le Pen niant la responsabilité de la France dans la rafle du Vel d'Hiv, le CRIF dénonce des propos révisionnistes qui dévoilent le véritable visage du Front National.
Au moins vingt-quatre civils, dont quatre enfants, ont été tués, vendredi 9 décembre 2011, par les forces de sécurité syriennes dans la répression des manifestations contre le régime du président Bachar Al-Assad. Malgré le déploiement massif des forces de l'ordre, de nombreux mouvements de protestation ont eu lieu dans le pays, sous le slogan "la grève de la dignité", en prévision d'une grève générale dimanche, selon des militants et l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
Les militants pro-démocraties en Syrie ont annoncé jeudi 8 décembre 2011 le lancement d'une campagne de désobéissance civile pour accroître la pression sur le régime de Bachar al-Assad, qui a suscité la consternation en niant toute responsabilité dans la mort de milliers de manifestants.
Le monde des enfants se divise en deux catégories. Ceux qui colorient sans déborder et ceux qui tracent des lignes exprès pour les dépasser. Les Mondrian et les Basquiat. C'est vrai aussi pour les enfants des rues.
Si les Frères musulmans ont fait leur entrée en politique active en 2011 seulement, l'organisation des Frères musulmans n'est pas née d'hier. Nés en Egypte en 1928 entre les mains d'Hassan al-Banna (le fameux grand-père de Tariq Ramadan), ils correspondent au mouvement le plus ancien de l'islamisme sunnite. Et c'est à partir de ce berceau historique, qu'ils ont implantés leur réseau dans d'autres pays arabes. Ils s'opposent aux courants laïcs des pays musulmans, rejettent les influences occidentales et soufies. S'ils préconisent une adaptation du Coran à la société moderne, ils souhaitent l'islamisation de la société et font du pouvoir politique un des fondements de l'islam.
Le 15 novembre 2011, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré que la décision de la Ligue arabe de suspendre la Syrie était «une erreur», avant de recevoir une délégation du Conseil national de l’opposition syrienne. Ces événements ont concordé avec la visite à Damas du patriarche de l’Eglise orthodoxe de Russie, Kirill, qui s’est entretenu avec Bachar al-Assad. Un apparent activisme diplomatique qui dissimule mal l’hésitation politique du Kremlin : alors que s’amplifient les critiques internationales à l’égard du président syrien, la Russie reste l’un des seuls pays à s’opposer à une pression accrue sur le régime baasiste. L’intransigeance de Moscou sur le dossier syrien peut s’analyser sous quatre angles.
À l'entrée du camp de Reyhanli, plusieurs militaires turcs montent la garde, fusil à la main. De hautes barrières encerclent les tentes blanches. Des caméras sont installées à chaque angle.