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Publié dans Courrier International le 6 juin 2017
“Aucune décision n’a encore été prise sur la sortie de Wonder Woman en Jordanie”, prévient The Jordan Times. La Commission des médias est en train d’examiner le dossier, alors que “dans tout le royaume, des militants ont élevé la voix pour dénoncer le fait que l’actrice principale du film, Gal Gadot, était une citoyenne israélienne qui avait rejoint durant deux ans les rangs de Tsahal, dans le cadre du service militaire obligatoire”, détaille le quotidien d’Amman.
La Jordanie ne serait pas le premier pays arabe à empêcher la sortie de Wonder Woman sur ses écrans. Suivant une recommandation de la Ligue arabe, hostile à la projection de tout film où apparaît Gal Gadot, le Liban a pris une décision en ce sens fin mai, rapporte L’Orient-Le Jour. Et le blockbuster hollywoodien vient d’être déprogrammé des Nuits du cinéma d’Alger, où il devait être projeté le 8 juin. Les organisateurs de l’événement démentent néanmoins tout boycott et mettent en avant “un problème de procédure”, relate le site Tout sur l’Algérie.
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