De l’humour qui provoque des rires de la meilleure cuvée, une mère possessive, tour à tour malicieuse, enjôleuse puis tonitruante, un fils soumis puis rebelles, un mari démissionnaire, des situations cocasses où chacun, souvent, se reconnait… « A ceux qui penserait qu’il s’agit là d’une pièce futile ou cruelle, je dis qu’il importe de faire un tri dans le legs des générations. Qu’il importe de dégager, de chérir et de transmettre l’identité, tout autant que de repérer, d’analyser et d’en séparer la caricature, la névrose. Résolument. Y eu-t-il dans notre histoire une époque aussi propice à une telle réflexion, à un tel effort sur nous-mêmes ? Puissions-nous, jusque dans notre rire, être à la hauteur de cette responsabilité. » Paul Fuks.