Le récit d'un joueur d'échecs sur sa pratique et sa relation au judaïsme. Il évoque son parcours en France et en Israël, décrit les principes du jeu, son histoire et sa philosophie et éclaire cette activité à la lumière de la Torah et de la tradition rabbinique.
Voici un livre très intéressant mais pour le moins étonnant. En effet, si la première partie de l’ouvrage correspond bien au titre annoncé, la seconde, comme on va le voir, est tout à fait différente et nous conduit dans un autre domaine.
Ci-dessous le communiqué de presse de la Fondation du Camp des Milles – Mémoire et Éducation, relatif à la cérémonie de Commémoration de la Journée Nationale du Souvenir des Victimes et des Héros de la Déportation, qui a eu lieu ce dimanche 30 avril 2017 au Site-mémorial du Camp des Milles et lors de laquelle des appels solennels se sont enchaînés pour appeler chacun à la responsabilité et à retenir les leçons de l’Histoire des extrémismes identitaires.
Cette journée de commémoration prend en effet un relier particulier dans un contexte actuel en France.
Communiqué de Presse de Bariza Khiari, Vice-Présidente du Sénat et sénatrice de Paris.
"J'ai apporté son soutien à la communauté juive et à Richard Prasquier, Président du CRIF, face aux actes odieux qui touchent de manière récurrente la communauté juive de France. Je m'inquiète de la multiplication d’actes antisémites impliquant des extrémistes musulmans et je salue les propos du Président de la République, François Hollande qui, tout en faisant preuve d’une grande fermeté face au terrorisme n’a pas hésité à rappeler qu’il fallait se garder de tout amalgame en direction des musulmans de France.
Alors que les menaces d'une intervention militaire israélienne contre les sites nucléaires iraniens se font toujours aussi pressantes, je vous propose une analyse du général Abel Pertinax, qui montre que si tout est prêt techniquement pour une telle frappe, la question continue de diviser les politiques et les militaires, ainsi que les hommes du renseignement dans l'État hébreu.
Le parti ultra-nationaliste grec Aube dorée (Chrysi Avgi) a inauguré un nouveau bureau à New York (dans le quartier d’Astoria), destiné à tendre la main à la diaspora grecque. Il a également mis en ligne un site internet spécial via lequel il invite les Grecs de la diaspora à fournir des médicaments, du matériel sanitaire, des aliments et des vêtements destinés à aider les Grecs en difficulté.
Dans l'une de ses récentes émissions satiriques à la télévision, Lakis Lazopoulos, le plus grand comique grec du moment, a soulevé une polémique sans précédent. Dans un décor de commissariat de quartier, on le voit sur scène, déguisé en policier. Débordé par les appels, de plus en plus nombreux et relevant de plaintes en tout genre - vols de sacs à main, cambriolages et braquages de banque -, il se sent impuissant. L'appel au secours des citoyens qui subissent cette montée de la criminalité et demandent protection est devenu pour lui un cauchemar. Une femme arrive alors (l'actrice Chrissa Ropa) et supplie l'agent de l'aider à retrouver au plus vite sa voiture volée. Face aux larmes de celle-ci et exaspéré par cette énième requête du même genre, il la reconduit vers la sortie en lui conseillant vivement d'appeler les militants du parti Aube dorée pour avoir une solution au plus vite.
Par Alain Salles pour le Monde du 28 septembre 2012
Ce sont des images champêtres d'un mariage dans le Péloponnèse, diffusées dans le journal people de la chaîne grecque Star. Des invités viennent dire leur joie au micro d'un journaliste tout sourire. Ce sont des têtes désormais connues en Grèce. Ils sont tous députés d'Aube dorée, le parti d'extrême droite qui a remporté près de 7 % des suffrages aux élections législatives du 17 juin, et sont venus fêter le mariage d'un de leurs collègues.
Dans le récent débat sur le « racisme anti-blanc », le grand oublié a été le mot « racisme », comme si sa signification et ses conditions d’emploi ne posaient aucun problème. Il en va tout autrement. Depuis la fin du XXe siècle, il est appliqué de façon polémique à un nombre indéfini de situations, et ne fonctionne plus que d’une façon vague et confuse, comme synonyme approximatif d’exclusion ou de rejet de l’autre, de discrimination, d’hostilité, de haine de l’étranger, d’intolérance à l’égard du différent, de peur phobique ou de mépris. On en connaît les multiples expressions courantes depuis les années 1970 : du « racisme anti-jeunes » au « racisme anti-flics », « anti-vieux », « anti-homosexuels », « anti-Français », voire au « racisme anti-Front national ». Le racisme étant partout, il n’est plus nulle part, et devient indéfinissable.