Le récit d'un joueur d'échecs sur sa pratique et sa relation au judaïsme. Il évoque son parcours en France et en Israël, décrit les principes du jeu, son histoire et sa philosophie et éclaire cette activité à la lumière de la Torah et de la tradition rabbinique.
Voici un livre très intéressant mais pour le moins étonnant. En effet, si la première partie de l’ouvrage correspond bien au titre annoncé, la seconde, comme on va le voir, est tout à fait différente et nous conduit dans un autre domaine.
Ci-dessous le communiqué de presse de la Fondation du Camp des Milles – Mémoire et Éducation, relatif à la cérémonie de Commémoration de la Journée Nationale du Souvenir des Victimes et des Héros de la Déportation, qui a eu lieu ce dimanche 30 avril 2017 au Site-mémorial du Camp des Milles et lors de laquelle des appels solennels se sont enchaînés pour appeler chacun à la responsabilité et à retenir les leçons de l’Histoire des extrémismes identitaires.
Cette journée de commémoration prend en effet un relier particulier dans un contexte actuel en France.
Le Défenseur des Droits a récemment publié un rapport intitulé « Les discriminations fondées sur la religion », qui analyse un phénomène en augmentation. Certaines données issues d’une étude du Crif sur la montée de l’antisémitisme dans le milieu scolaire y sont notamment citées.
Ministre déléguée auprès du Premier ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations, Aurore Bergé est l’auteure de « Nos combats pour la République » (Éd. Robert Laffont, 2025). La Ministre affirme la vigueur de ses convictions et présente ici l’appel à projets qu’elle lance actuellement, avec le ministre de l’Éducation nationale, pour que le Prix Ilan Halimi ait une résonnance particulière dans les collèges et les lycées de France, ce prix de lutte contre les discriminations ayant été élargi à l’enseignement supérieur. En réponse aux questions de Jean-Philippe Moinet, cette figure du mouvement « Renaissance » évoque sa volonté et l’importance dans les mois qui viennent de « tracer un chemin d’avenir, évidemment républicain, laïc, universaliste ».
Le 9 décembre 1905, lendemain de la mort à Paris du grand-rabbin Zadoc Kahn, est adoptée la loi de séparation des Églises et de l’État qui prévoit de modifier, sans la bouleverser, l’organisation du judaïsme en France et en Algérie. Quelle a été la réaction communautaire face à la Séparation ? Une approche historique axée sur l’examen critique de sa réception permet de dépasser le mythe d’une adhésion unanime, immédiate et entière.
À l’occasion du 120e anniversaire de la loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Églises et de l’État, la Commission Valeurs de la République du B’nai B’rith France (BBF) a réalisé une étude riche et documentée sur le thème « 120 ans de laïcité : l’esprit de 1905, l’enjeu de 2025 ».
La Fédération des Communautés Juives d’Espagne (FCJE) et le Conseil représentatif des Institutions Juives de France (Crif) publient un communiqué conjoint pour exprimer leur profond désaccord avec l’attribution, par le gouvernement basque, du Prix René Cassin 2025 des droits de l’Homme à Francesca Albanese.
Mardi 16 décembre 2025, La Revue K vous invite à une séance gratuite du Ciné-Club K. Les films « Masel Tov Cocktail » d’Arkadij Khaet et Mickey Paatzsch, et « Paye pour tes morts » de Carine Ruszniewski, seront projetés. La projection se fera en présence des réalisateurs et sera suivie d'une discussion avec la philosophe Julia Christ.