Le CRIF en action
|
Publié le 10 Mai 2012

67e anniversaire de la Victoire du 8 mai 1945 : «un symbole de la cohésion nationale»

Nicolas Sarkozy et François Hollande se recueillent sur la tombe du Soldat inconnu et signent le Livre d’Or.

 

Le 8 mai 1945, la France victorieuse efface la honte de la défaite et du régime de Vichy. Un rappel historique s’impose. Dans la nuit du 8 au 9 mai 1945 est signée la capitulation de l’Allemagne nazie. Autour de la table de la résidence du maréchal soviétique Joukov située dans la banlieue de Berlin est également présent  l’envoyé du Général de Gaulle : le Général de Lattre de Tassigny. En 1945 le nazisme est vaincu et le monde découvre l’horreur des camps de concentration et d’extermination nazis.

De nombreux Juifs ont combattu dans la Résistance, les Forces Françaises Libres et dans les armées alliées ; nous leur devons une reconnaissance éternelle

Le 8 mai 2012, devant l’Arc de Triomphe, des écrans géants montrent des images d’archive.

 

L’évènement important est l’arrivée annoncée de Nicolas Sarkozy, le Président en exercice et de François Hollande, le Président de la République nouvellement élu.

 

Les voici devant nous et l’image de leur présence à ce moment précis transcende les clivages politiques ; l’un et l’autre sont l’illustration d’une France unie par les valeurs républicaines. Ils saluent des personnalités et les porte-drapeaux. Comme l’a souligné le Président Nicolas Sarkozy dans son message  spécialement écrit pour cette cérémonie : « Le 8 mai est un symbole de la cohésion nationale ».

 

Sur l’une des tribunes, non loin de la figure du gaulliste historique Yves Guéna, sont présents : le Président du CRIF Richard Prasquier, le sculpteur Walter Spitzer, auteur du monument du Vel d’Hiv, ancien déporté libéré par l’armée américaine et Claude Hampel, président délégué de la Commission du Souvenir.

 

De nombreux Juifs ont combattu dans la Résistance, les Forces Françaises Libres et dans les armées alliées ; nous leur devons une reconnaissance éternelle.