« Aujourd’hui, la négation de la Shoah s’apparente à une justification du totalitarisme nazi. Par lui, c’est la dignité de tout homme qui a été gravement blessée », déclarent les signataires qui ajoutent ne pas pouvoir « accepter, quel qu’en soit le motif, la remise en cause de cette tragédie qui a frappé le Peuple juif et ravagé toute l’Europe ».
Jean-Pierre Ricard, Archevêque de Bordeaux, président de la Conférence des Evêques de France, Philippe Barbarin, Archevêque de Lyon, Jean-Marie Lustiger, Archevêque émérite de Paris, André Vingt-Trois, Archevêque de Paris, Georges Pontier, Archevêque de Marseille, vice-président de la CEF, et Jean-Louis Papin, Evêque de Nancy, vice-président de la CEF, ont signé la lettre.