Bernard Kouchner a indiqué dans un courrier le 25 juillet au président du CRIF que « la France ne méconnaît pas les actions commises par cette organisation » mais que plusieurs arguments, notamment les engagements pris par le Hezbollah au sein du gouvernement Siniora, lors de l’approbation de la résolution 1701, ont conduit la diplomatie française à « estimer politiquement responsable d’associer cette organisation à la rencontre de la Celle Saint-Cloud ».
Le ministre a par ailleurs assuré Richard Prasquier que la libération des trois soldats israéliens enlevés « est au cœur des préoccupations des autorités françaises ».