Mis à part les sanctions onusiennes, d’autres facteurs entrent en compte, comme les lourdeurs administratives ou le renforcement des impôts prélevés aux expatriés français. Une autre explication est à trouver dans les intérêts que certaines entreprises françaises peuvent avoir aux Etats-Unis. Plusieurs banques ont préféré se retirer pour ne pas froisser leurs amis américains. Le géant du pneu Michelin a également renoncé à investir en Iran pour ne pas mettre en péril ses parts de marché aux Etats-Unis. Le Figaro note que le projet de la mission économique de l’ambassade de France de réduire ses effectifs de 14 à 7 d’ici la fin de l’été marque un signe du ralentissement des activités des entreprises françaises en Iran.