Tribune

Mardi 2 septembre 2025, la ministre Aurore Bergé a lancé la nouvelle édition du Prix Ilan Halimi lors d'une cérémonie d'hommage à Sainte-Geneviève-des-Bois. Le président du Crif était présent pour affirmer, aux côtés de la ministre, l'engagement commun contre la haine antisémite. À l’occasion du lancement du Prix Ilan Halimi 2026, un arbre a été planté pour honorer sa mémoire.

Mercredi 27 août, la Fondation du Camp des Milles-Mémoire et Éducation a eu l’honneur d’accueillir 70 présidents d’Universités et de grandes Écoles publiques dans le cadre de sa convention de partenariat avec l’association France Universités qui les rassemble au niveau national.

Dans le cadre du Festival du Cinéma Israélien de Paris, le film Oui de Nadav Lapid sera présenté en avant-première lors d’une séance exceptionnelle au cinéma Majestic Passy le 4 septembre 2025.

« Les Français prennent le chemin de la rentrée. Dans ce temps habituellement optimiste, plein de bonnes résolutions et de volontarisme, règne cette année au contraire une atmosphère empreinte d'inquiétude et de fatalisme. Les perspectives politiques, d'abord, promettent des temps incertains, à l'heure où notre pays n'a plus les moyens de s'offrir le luxe de l'instabilité. »

Jeudi 11 septembre 2025 à 20 heures, le Centre Culturel et Communautaire Jérôme Cahen à Neuilly-Sur-Seine accueillera le président du Crif, Yonathan Arfi pour une conférence inaugurale intitulée : « Les nouveaux combats des Juifs en France ». Inscription obligatoire.

L’avocat Patrick Klugman, Président de Yad Vashem France et ancien président de l’Union des Étudiants Juifs de France (UEJF), évoque la nécessité de sortir de la polémique très vive qui a opposé en août le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, et le Président de la République française, Emmanuel Macron, l’accusation d’antisémitisme (ou de l’amplifier) n’ayant « aucun sens », déclare-t-il. Répondant aux questions de Jean-Philippe Moinet, il affirme que la reconnaissance d’un État palestinien sans conditions (la libération des otages et la fin de la gouvernance du Hamas à Gaza) serait « une grave erreur » et que l’intérêt supérieur de l’État d’Israël conduit à stopper la guerre, « sans résultats probants », à Gaza pour construire l’avenir dans la diplomatie.