Jean Pierre Allali

Jean-Pierre Allali

Lecture de Jean-Pierre Allali - Médéa, Médée, une enfance en Algérie, de Jean Bensimon

25 July 2018 | 159 vue(s)
Catégorie(s) :
France

Francis Kalifat, the Crif President gave a speech at the annual Crif's dinner 2017. 

Né à Tunis en 1920, Albert Memmi, s’il a été considéré, à travers certains de ses romans, comme le chantre du judaïsme tunisien, demeure surtout, le théoricien du colonialisme

C’est l’histoire d’un mariage mixte raté. Un mariage entre une Juive et un Musulman, Julie et Sam. 

"Le terrorisme et l'antisémitisme ont marqué cette année passée"

Je me suis exprimé sur les enjeux de l'élection présidentielle pour la communauté juive française.

Stéphanie Dassa's picture
Hommage à Claude Hampel
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14 November 2016
Catégorie : France

« Il y eut un soir et il y eut un matin » Genèse1 : 5

Comme chaque année, l'association ASI/Keren Or que je préside, distribue des lunettes de vue en Israël aux plus démunis. Cette année l'opération s'est déroulée dans la ville de LOD.

En 2005, le fait religieux envahissait peu à peu et dans la confrontation, les cours de récréation. L’agitation religieuse commençait à provoquer des dégâts dont nous payons le prix lourd aujourd’hui.

FOR JERUSALEM NO VOICE MUST MISS
FOR JERUSALEM NONE OF US CAN REMAIN SILENT

POUR JERUSALEM PAS UNE VOIX NE DOIT MANQUER
POUR JERUSALEM AUCUN D’ENTRE NOUS NE PEUT SE TAIRE
 

 

Cette période de fêtes juives en France, rime aujourd'hui avec contrôles de sécurtié et détecteurs de métaux

Une stèle en mémoire des victimes de la Shoah qui n’ont pas de sépulture, "ni ici, ni ailleurs", a été inaugurée dans le cimetière parisien de Bagneux.
Une cérémonie solennelle - et sous haute sécurité - qui, à Bagneux, dix ans après la mort d’Ilan Halimi, séquestré et torturé dans la cité de la Pierre-Plate parce qu’il était juif, était d’autant plus symbolique.

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Opinion

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires ! 

Texte de Richard Prasquier, ancien président du Crif, également publié dans l'hébdomadaire Actualité Juive.

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires !

 

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires ! 

Par Nicolas Bedos

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Médéa, Médée, une enfance en Algérie*, de Jean Bensimon

Un homme se penche sur son passé. Bien que né à Alger, l’auteur a vécu à Médéa dans la région du plateau du Titteri où son père occupait les fonctions de payeur du Trésor. Il se souvient de son enfance, de sa mère, malade, de leurs voisins et amis, les Chemla, du notaire, Monsieur Serror, du minotier Bismuth, du boulanger Bensaïd, du ferblantier Zmirou, du coiffeur Caruso, du docteur Ben Mérabet, de ses copains, les frères Mansour, Khaled et Mohamed, de Robert, de Jacky et de Paul avec lesquels il disputait de belles parties de football et de sa voisine, Colette Lalouette. Sans oublier la femme de ménage, Zohra. C’était le temps des fortes chaleurs, de la sieste obligatoire et des lectures enfantines. Le temps aussi du hammam, bain maure, où il accompagnait sa mère. Et le temps des jeux de noyaux d’abricot ou des séances aux cinémas, le Rex et le Mondial. Et, à l’adolescence, le scoutisme, avec les E.I.F.

On découvre aussi la synagogue de Médéa et les offices qui y étaient organisés sous l’autorité du rabbin Tordjman.

Très jeune, Jean Bensimon réalise que ses parents ne s’entendent pas, que le couple qu’ils forment est mal assorti. Il décrit sa mère comme très colérique et raconte les nombreuses scènes de ménage auxquelles il assistait. Il avoue qu’il ne l’aimait pas beaucoup . « Mon désamour avait commencé tôt pour perdurer »

Adulte, l’auteur cherchera à faire traduire les nombreuses imprécations en langue arabe que sa mère utilisait. Il y parviendra.

Par-delà le récit familial et personnel, cet ouvrage donne un éclairage sur la vie des Juifs en Algérie, devenus français à part entière grâce au décret Crémieux de 1870. Ce qui n’empêcha pas, en 1934, le terrible pogrome de Constantine.

Original.

Jean-Pierre Allali

(*) Editions Orizons. 2018. 184 pages. 20 €.