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Après François Fillon, Emmanuel Macron, le candidat d’En Marche était l’invité, le 22 mars, de la soirée-débat organisée par les Amis du Crif, dans un grand hôtel parisien.
Interrogé par la journaliste Audrey Pulvar et François Clémenceau, rédacteur en chef du Journal du dimanche, Emmanuel Macron a commencé par évoquer les attentats ayant touché Londres quelques heures auparavant, avant d’évoquer son projet européen.
« Il faut articuler un véritable projet » pour « une Europe renforcée » avec plus de « collaboration » et de « contrôle aux frontières » a affirmé celui qui se considère comme le « seul candidat de la campagne qui défende l’idée européenne ».
Macron a aussi défini son positionnement hors-parti comme étant « social-démocrate », arguant du fait que « les gens ne se reconnaissent plus dans les schémas actuels ».
Abordant les sujets proches des centres d’intérêts de la communauté juive, l’ancien ministre de l’Economie a évoqué le conflit israélo-palestinien, le problème des implantations, et la récente résolution de l’Unesco sur Jérusalem.
Il a également réaffirmé sa position déjà connue sur le boycott dont il « condamnera toujours les actions »
Publié dans le Times Of Israel le 23 mars 2017, lire la suite ici