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Description d'un combat, de Chris Marker, 1960
D’Aleksander Ford à Susan Sontag en passant par Pier Paolo Pasolini, Chris Marker ou Claude Lanzmann, Israël a inspiré de nombreux cinéastes étrangers.
Contemporain de la naissance du cinéma, le projet sioniste a été observé, filmé et raconté dès ses balbutiements, les premières images filmées de Jérusalem apparaissant dans un film des frères Lumière de 1897.
En portant sur Israël leur regard, empathique mais distancié, les cinéastes étrangers offrent une profondeur de champ qui échappe parfois aux cinéastes israéliens, et proposent un regard percutant sur ce pays singulier.
Au travers d'une série d'oeuvres - fictions et documentaires - rares pour certains, ce cycle illustrera l’évolution de l’image d’Israël dans le regard des cinéastes étrangers, et de ces regards portés sur Israël, des origines du cinéma jusqu’à nos jours.
Cycle coordonné par Ariel Schweitzer, historien du cinéma et critique aux Cahiers du Cinéma.
En partenariat avec le Musée d'art et d'histoire du Judaïsme et Mémorial de la Shoah
Programme
Jeudi 19 septembre - Ouverture
18h45 Pourquoi Israël, de Claude Lanzmann
Samedi 21 septembre
11h00 La vie des juifs en Palestine, de Noah Sokolovsky
14h30 Sabra, d’Aleksander Ford
17h00 Repérages en Palestine, de Pier Paolo Pasolini
19h30 Description d’un combat, de Chris Marker
Dimanche 22 septembre
16h30 Le jongleur, d'Edward Dmytryk
18h30 L'heure de la vérité, d'Henri Calef
Lundi 23 septembre
19h00 Siège, de Gilberto Tofano
21h00 Voyages, d'Emmanuel Finkiel
Mardi 24 septembre
19h00 Là-bas, de Chantal Akerman
21h00 La déchirure, de Susan Sontag
Mercredi 25 septembre - Clôture
19h30 « Would you have sex with an Arab? », de Yolande Zauberman