Je voudrais finir avec les mots de Gilles Jacob, le président de notre prestigieux ainé, le Festival de Cannes : « Pourquoi un cinéma comme le cinéma israélien parvient-il à aligner autant de bons films par rapport au nombre de films produits ? À obtenir autant de sélections et de récompenses dans les festivals internationaux ? On en tirera peut-être l’enseignement que ce sont des films faits dans l’urgence, sur des problèmes contemporains, des enjeux primordiaux, des tensions palpables, parce que c’est un cinéma qui rencontre son époque en jouant sans cesse sa peau. »
Xavier Nataf, directeur du festival
Photo : D.R.