Lors de la cérémonie annuelle de la Maison du cinéma, le 17 septembre dernier, Asghar Farhadi avait dit espérer que la situation allait «changer» et que des metteurs en scène proches de l’opposition, comme Jafar Panahi, qui a passé trois mois en prison, ou Mohsen Makhmalbaf, exilé, pourraient travailler librement en Iran. En réponse, le ministère de la Culture a indiqué que la licence du film de Farhadi avait été retirée en raison de ses «déclarations pas très intéressantes lors de la cérémonie du 17 septembre (sic)»…
Photo (Asghar Farhadi): D.R.