Le couple a créé une association au nom explicite, « Après l'oubli », a contacté Serge Klarsfeld, président des Fils et Filles des déportés juifs de France, et le conseil général de Lot-et-Garonne. Les deux ont apporté leur concours à cette entreprise de mémoire. « Nous avons accumulé 15 000 documents dans notre ordinateur. On se réveillait même la nuit, pour un détail », raconte Sandrine Labeau. La parution cette semaine de leur pavé de près de 500 pages intitulé « Les 473 déportés juifs de Lot-et-Garonne », est un acte fondateur…
Photo : D.R.
Source : ladepeche.fr