- English
- Français
Montée "en une semaine" selon Valérie Trierweiler qui en est à l'initiative, l'exposition "Bring Back Our Girls" prend la forme de 220 silhouettes, comportant chacune le prénom d'une jeune fille enlevée, reliées par des chaînes. Elle se tiendra sur la place de la République, en plein centre de Paris, pendant un mois, avant peut-être de "se poursuivre dans d'autres capitales", espère Mme Trierweiler.
"Bien sûr, il y a mille causes à défendre, il y a des Français qui ont été victimes (...) des enfants de Gaza, des enfants d'Israël, des enfants de Syrie dans le monde entier qui souffrent. Mais il y a 220 jeunes filles dont on est sans nouvelles et aujourd'hui elles sont en train de tomber dans l'oubli et l'indifférence", a déclaré Mme Trierweiler, après une brève déambulation entre les silhouettes. "Ces jeunes filles sont aujourd'hui un symbole, elles sont le symbole de l'oppression des femmes dans le monde. Elles ont été enlevées simplement parce qu'elles allaient à l'école. C'est contre cela que nous devons lutter", a-t-elle ajouté… Lire la suite.