Rue Mandar

Idit Cebula s’est inspirée de ses propres souvenirs pour raconter sa vie et aborder des thèmes plus universels comme la famille, la perte de l’enfance, l’attachement aux lieux où on a grandi… Sur le ton de la chronique, elle s’amuse de ses personnages désorientés et nous offre un petit concentré de névroses drôlissime.

Formée au Cours Florent à Paris, Idit Cébula fait ses débuts à l'écran dans Camille Claudel de Bruno Nuytten en 1988. Son parcours au cinéma s'accélère dès 1999. On la voit dans des longs métrages comme Scènes de crimes de Frédéric Schoendoerffer, Ma petite entreprise de Pierre Jolivet, Nathalie... d'Anne Fontaine, Les rivières pourpres II d'Olivier Dahan, Le rôle de sa vie de François Favrat, La confiance règne d'Etienne Chatiliez, Comme t’y es belle ! de Lisa Azuelos, ou Je préfère qu'on reste amis et Nos jours heureux d'Olivier Nakache et Eric Toledano. Dès 1998, Idit Cébula se lance dans la réalisation avec le court métrage À table ! primé à la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes.

Son premier long métrage, Deux vies plus une est présenté est primé en 2007 au Festival international des Jeunes Réalisateurs de Saint-Jean-de-Luz. Rue Mandar est son deuxième long métrage.

Actuellement dans les salles.