Il a donc choisi d’ironiser sur le nez d’un journaliste agressé par le service d’ordre du FN, puisque celui-ci était juif.
Nous comprenons que Jean-Marie Le Pen éprouve le besoin de montrer qu’il existe encore un peu et qu’il ne renonce à aucune de ses obsessions.
De même qu’il a assumé au cours de son discours l’intégralité de ses paroles passées, nous nous attendons à ce que Jean-Marie Le Pen en profère d’autres aussi nauséabondes dans l’avenir. Mais dans cette veine, Jean-Marie Le Pen qui inspirait jusque-là la colère, n’inspirera désormais plus que le mépris.
Le CRIF restera vigilant!