Dans sa réponse, le ministre des Affaires étrangères a réitéré l’engagement de l’Europe et de la France pour faire avancer le processus de paix, tout en disant, étonnamment : « nous sommes d’accord -hélas- sur toutes les parties que vous avez cité ».
Le CRIF estime que ce sujet doit être traité avec justesse et impartialité et ce type de débat demande de la tenue. Tout en réaffirmant son engagement pour la résolution pacifique de ce conflit et tout en soutenant que Jérusalem reste la capitale indivisible du peuple Juif depuis 3000 ans, le CRIF regrette fermement que l’hémicycle de l’Assemblée nationale devienne le siège d’un tribunal, lorsqu'il est question d'Israël.