Enrico Macias avait déclaré au quotidien arabophone Ech-Chourok : « Je ne me rendrai pas dans un pays où je ne serai pas le bienvenu. » « Le président Sarkozy m'a conseillé de patienter», avait-t-il ajouté tout en réaffirmant qu'il « se rendrait un jour en Algérie quel qu'en soit le prix ».