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Roger Cukierman, président du CRIF et vice-président du CJE, a salué l’absence à ce colloque de « Saddam Hussein, dont l’arrestation est une grande victoire pour la démocratie et les juifs ». Son régime, tout comme le nazisme et le communisme ont comme dénominateur commun « la haine de la démocratie et des juifs ».
Le président du CRIF a estimé que tous les moyens sont bons pour diaboliser Israël, qui ne fait que se défendre contre les attaques terroristes. Il a rappelé l‘existence d’autres barrières de sécurité – notamment entre les Etats-Unis et le Mexique, les deux Irlande, les deux Corées – qui ne suscitent pas la moindre réprobation.
Roger Cukierman a insisté sur le « caractère indispensable » de la barrière et indiqué : « Nous voulons qu’Israël ait les moyens de se protéger et nous ne voulons pas de larmes de crocodiles. »
Les différents orateurs se sont retrouvés dans les propos de l’ambassadeur d’Israël à l’ONU, pour lequel « le véritable architecte de la barrière de sécurité est Arafat ».