Pour sa part, Philippe Douste-Blazy, a exprimé son "indignation". Dans une lettre au président de Carrefour, le ministre des Affaires étrangères déplore ce boycottage et fait part de son « indignation quant au fait que des produits en provenance d'un pays membre de l'Union européenne aient pu être ainsi retirés de la vente, en manquement au principe de solidarité qui doit naturellement prévaloir entre partenaires européens". D’après un responsable du groupe, les franchises au Moyen-Orient sont libres de toute politique et ne dépendent pas de la direction du groupe.