Cette visite avait suscité bon nombre d'indignations d'associations dont celle du CRIF. Un groupe de parlementaires des principaux groupes politiques de l'Assemblée avait protesté contre la visite de Haddad Adel, appelant leurs collègues parlementaires à quitter le bâtiment s'il y parlait. Selon les parlementaires, le discours d'un représentant de haut rang de l'Iran dans une instance des droits de l'homme était inacceptable, car ce pays soutient l'éradication d'Israël, nie l'Holocauste et constitue une menace pour la paix du monde parce qu'il essaye de se doter d'une force nucléaire militaire.