« Le Rosh Hashanah de Noam et Aviva était bien triste dans la tente », écrit Yossi Sarid dans Haaretz, ce 15 septembre 2010, et le vendredi de Yom Kippour sera encore plus. Nos engagements pour libérer Gilad Shalit n'ont pas abouti. L'Etat a abandonné. Peut-être avons-nous pensé à lui pendant la lecture de la Torah, le jour de Rosh Hashanah, ou le Passouk concernait le sacrifice d'Isaac. Mais, si l'Abraham d’hier était prêt à renoncer à son fils bien-aimé, celui d'aujourd'hui semblent se contenter du «sacrifice de chaque mère ».