Dans les affaires d'otages, le temps des ravisseurs n'est pas celui des diplomates et encore moins celui des familles. J'ai parfaitement conscience de la douleur des familles pour qui toute journée de détention est une journée de trop. Avec le gouvernement afghan, nous agissons pour obtenir une libération le plus rapidement possible. Nous sommes également engagés pour la libération de nos autres otages, les cinq retenus au Sahel, celui qui est en Somalie et le jeune soldat franco-israélien détenu à Gaza. »
Photo : D.R.