« Je vous conjure d’évoquer Gilad dans toutes vos conversations, partout dans le monde. Malheureusement, nous entendons des voix en provenance du gouvernement américain qui laissent entendre leur mécontentement face à l’échange de prisonniers qui est proposé. Ces voix suggèrent aux décideurs en Israël de ne pas accepter l’accord car cela pourrait déstabiliser le pouvoir d’Abou Mazen (Mahmoud Abbas). Cinquante-deux membres du Congrès ont même adressé au président Obama une lettre afin qu’il presse Israël d’ouvrir les frontières au passage de personnes et de marchandises vers la bande de Gaza sans rappeler le fait que mon fils est prisonnier dans la bande de Gaza et que c’est pour cela que les frontières sont fermées », a dit Noam Shalit.
Photo : D.R.
Source : Revue de la presse israélienne du service de Presse de l’ambassade de France en Israël