Noam Shalit s’est adressé avec beaucoup d’émotion aux quelques 200 jeunes sportifs venus l’écouter, dont la plupart ont le même âge que son fils prisonnier. « Plusieurs gouvernements successifs ont échoué à le ramener sain et sauf à la maison… Malheureusement, nous l’avons perdu. Cela doit servir de leçon pout tout un chacun.
Noam Shalit a aussi révélé lors de cette intervention qu’il avait personnellement tenté par le passé de contacter directement les leaders palestiniens sans succès. « Les preneurs de décision refusent de rencontrer la famille », a-t-il expliqué. Il a ensuite critiqué les pressions américaines et britanniques : « Ces gouvernements oublient qu’il reste des comptes à régler… Cela me touche beaucoup que des jeunes comme vous s’intéressent à ces sujets, à mon fils prisonnier… la jeunesse juive britannique peut faire avancer les choses… »
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