« Ce processus passe par la rédaction et la signature dès 2007 d’une convention de gestion du monument qui permettra de transférer la responsabilité de l’ouverture au public, de l’Etat à une personne morale distincte, par exemple une association de promotion du monument, que les collectivités territoriales pourraient soutenir », explique Pascal Clément.
« Cette convention devra définir les responsabilités de chacun et permettra de préserver tout autant la sécurité des juridictions que le monument lui-même », ajoute le ministre.