Interrogé le 4 septembre par Public Sénat, Richard Prasquier a estimé que la majorité des Israéliens ne font pas confiance eux non plus à la Syrie et que le retour du Golan, qui connaît la stabilité, n’est pas vital pour celle ci.
Richard Prasquier doute de la bonne foi de Bachar el Assad, qui est convaincu du caractère militaire du nucléaire iranien.
Le président du CRIF a considéré que la Syrie a eu « un rôle lourd » au Liban, en armant le Hezbollah.
Enfin, Richard Prasquier a estimé que Bachar el Assad se rapproche de la position de son père en jouant la carte russe.