Il a parlé de "menaces" contre cet enseignement parce que le cas de Catherine Pederzoli n'est pas le seul (il a parlé d'autres sanctions ou intimidations) et parce que les survivants qui pouvaient témoigner disparaissent. Richard Prasquier a jugé certains termes utilisés dans le rapport de l'Inspection générale de l'Education nationale visant Mme Pederzoli "inacceptables" et s’est dit "indigné" que des inspecteurs aient pu utiliser des arguments comme "l'excès d'emploi du mot Shoah". Le débat qui a été organisé par l'association de la Presse israélienne à Paris réunissait Richard Prasquier, Catherine Pederzoli et l'écrivain Guy Konopnicki, porte-parole de son comité de soutien.
Photo : D.R.