Les cinq membres du "Collectif boycott 68" devaient être jugés pour provocation "à la discrimination, à la haine ou à la violence", sur plainte du Bureau national de Vigilance contre l'Antisémitisme (BNVCA). Lors de la première audience, le président du tribunal correctionnel a toutefois renvoyé le procès au 29 novembre pour permettre à La Ligue contre le Racisme et l'Antisémitisme et la Chambre de commerce France-Israël, qui se sont récemment jointes au BNVCA, d'avoir accès au dossier. Maître Pascal Markowicz représentait la CCFI.
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