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« Même si le nombre des actes antisémites a diminué, la situation est insuffisante, car tant qu’un acte antisémite sera commis en France, nous serons face à une situation inacceptable », a-t-il ajouté devant deux membres de son gouvernement, Jean-François Copé, secrétaire d’Etat aux relations avec le Parlement, Hamlaoui Mekachera, secrétaire d’Etat aux Anciens combattants et Roger Cukierman, le président du CRIF, accompagné de son Comité directeur.
Indiquant que la lutte contre les actes antisémites est « une priorité absolue » pour lui et son gouvernement, Jean-Pierre Raffarin a également évoqué la situation au Proche-Orient. Affirmant que « le terrorisme est inacceptable », il a souhaité que les Israéliens et les Palestiniens retrouvent le chemin de la négociation.
Le Premier ministre a rendu un hommage appuyé au CRIF qui « figure parmi les éléments les plus vivants de notre démocratie sociale » et s’est félicité de ses relations avec son interlocuteur « parfois exigeant mais toujours indispensable ».