Le président du CRIF a rappelé les termes de son intervention face au président russe [
http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=9736&returnto=accueil/main&artyd=2]. Il a également évoqué la réponse qui lui a été faite par Vladimir Poutine : "la possession de l'arme nucléaire par l'Iran serait inadmissible…la Russie serait parmi les pays en danger, en raison de la proximité géographique." Richard Prasquier ajoute néanmoins que "le flou sur l'attitude russe persiste".
Les radios de la Fréquence juive ont également demandé à Richard Prasquier de réagir à chaud sur les suites de l'attentat de la rue Copernic et le fait qu'on ait retrouvé la piste d'un des auteurs présumés au Canada [
http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=9728&returnto=articles_display/presse_th&artyd=5&tg_id=4]. Il a rendu hommage au travail minutieux de la police française qui, en coopération avec d'autres enquêteurs a réussi à ne pas laisser impuni cet attentat "qui à quelques minutes près, aurait pu se transformer en carnage". "Comme beaucoup, je croyais que l'enquête avait abouti à une impasse, mais mon pays a continué à rechercher les assassins, 27 ans après." a-t-il ajouté.
La tribune de Richard Prasquier sur les tests ADN dans le Figaro du 11 octobre a aussi suscité l'intérêt des interviewers [lien avec le texte]. Il a estimé que son rôle est de réfléchir personnellement à ce type de questions et a rappelé que c'est à titre personnel qu'il s'est exprimé dans les colonnes du quotidien.
Richard Prasquier a été interviewé par le grand quotidien israélien, Yedioth Aharonoth, par la radio Kol Israel et par Guysen.
Le président du CRIF sera également interviewé dans le journal de Judaïques FM, dimanche 14 octobre à 9 heures.