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Elle a aussi évoqué le traumatisme généré par « ce drame barbare dans l'esprit de nos enfants » et suggéré la mise en place d'un groupe de paroles auprès des enfants pour leur permettre de ne pas être en proie à des angoisses.
Edwige Elkaim a déclaré que la mobilisation était plus importante que jamais, car « nous savons à présent que ce n'était un acte isolé d'un être déséquilibré, mais d'un terroriste qui se revendiquait du mouvement de fanatiques d'Al-Qaïda… Une trentaine d'associations et d'institutions nous ont envoyé des messages de soutien et d'amitié et nous rejoignent dans notre marche silencieuse (elle a eu lieu le 22 mars 2012), pour former un front uni contre l'antisémitisme, le terrorisme et la violence ».
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