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Plus tôt dans la soirée, le Grand Rabbin de France Gilles Bernheim soulignait « la force, l’abnégation et le courage des familles endeuillées ». « Le Collel Beith Sandler sera un lieu de vie qui incarnera des vertus particulières comme la discrétion et le don de soi », a-t-il poursuivi dans une brillante allocution.
Étaient présents de nombreux rabbanim comme le Grand Rabbin de Paris Michel Gugenheim mais aussi plusieurs responsables communautaires à l’instar de Richard Prasquier (CRIF) et de Joël Mergui (Consistoire central).
« Nous sommes ce soir en famille » avait lancé en préambule Yohan Perez, le maître de cérémonie de la soirée qui s’est chargé de vendre un certain nombre de mitsvoth dans l’optique de financer le lieu d’étude à Jérusalem.
Impressionnant de courage, le discours de Samuel Sandler a constitué l’un des moments forts de la soirée. « Le mois d’Adar est traditionnellement un mois de joie. Pour nous, il s’agit d’un mois de tragédie », a-t-il affirmé devant un public encore groggy par les événements de mars dernier.