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La République et toutes les confessions religieuses se retrouvent unies dans la douleur et le refus de l’antisémitisme et du racisme
À l’arrivée, des enfants de confession juive ont allumé des bougies en la mémoire des victimes. « Il y avait beaucoup d’émotion, souffle Caroline Teman, présidente de l’Union des étudiants juifs de France en Isère, et qui a porté le nom d’une des victimes. C’est un drame national, mais cette marche est un acte de fraternité. »
« C’est un front uni contre le terrorisme, ajoute Edwige Elkaïm, présidente du CRIF Grenoble Isère. La République et toutes les confessions religieuses se retrouvent unies dans la douleur et le refus de l’antisémitisme et du racisme. »
« C’est important d’être là, reconnaît Mohamed Laakri, président du Conseil des imams de l’Isère, c’est mon devoir. On vient partager la douleur et le chagrin des victimes. Celui qui tue une vie tue l’Humanité. » Un appel a d’ailleurs été lancé aux imams du département pour qu’ils relaient ce message lors des prochaines prières.