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Au terme de ce séminaire, les étudiants ont pu prendre connaissance des modalités d’implication possibles dans des actions de solidarité nationale
Avec l’ambition « de ne pas subir les effets de l’incertitude », les participants au séminaire de l’IHEDN ont étudié autant la doctrine de défense et sécurité française que les sujets contemporains : de la dissuasion nucléaire à la lutte contre la piraterie au golfe d’Aden, en passant par le rôle de la Russie dans les relations internationales, les révolutions arabes et la protection de l’information. Se sont des connaissances, mais aussi des valeurs autour desquels les étudiants se sont retrouvés, en commençant par la valeur de la vie humaine, illustrée par le combat pour la libération des otages ou la conscience que l’arme nucléaire représente « la pire des inventions humaines ».
« Ces enseignements ont eu pour moi une portée particulière, à l’heure où l’Iran tente de se doter de l’arme nucléaire et exprime son souhait qu’Israël soit « rayé de la carte » », a souligné Eve Gani.
Au terme de ce séminaire, les étudiants ont pu prendre connaissance des modalités d’implication possibles dans des actions de solidarité nationale, du service civique au bénévolat auprès des sapeurs-pompiers chargés des premiers soins aux victimes, qu’elles soient les victimes d’un feu, d’un accident de la route ou encore d’une attaque terroriste. En prolongation du séminaire, la chargée du développement encourage maintenant son entourage à « partager avec la société cet esprit de défense, que les associations membres du CRIF, créé en 1943, portent nécessairement déjà en partie».