Et si demain, Gilad devait mourir, auriez-vous un mot, une phrase, une ligne, un souffle, un regard pour dire que vous regrettez ?
Alors, comme cela, je me dis que vous ne méritez sûrement pas notre pardon, vous, les humanitaires, dont les causes quelquefois sont si sélectives.
Gilad,
Gilad,
Gilad, j’écris ton prénom.
Photo : D.R.