«Ce qui nous importe, c'est de provoquer un débat», a-t-elle expliqué pour expliquer cette déprogrammation. Elle a d'ailleurs estimé avoir «bien réussi».
Films israéliens interdits ou censurés ! Livres saisis demain ou retirés aujourd’hui ? Revues censurées, pièces enlevées ? Ballets déprogrammés ! On assiste à la pression toujours plus accentuée d'une idéologie réactionnaire de force contre quelque chose qui meurt béatement, avec couronnes et fleurs de rhétorique, dans une tombe: LA LIBERTÉ !
Madame Faucon, en censurant grossièrement et délibérément ce film israélien vous commettez une faute grave. Votre déprogrammation qui s’apparente à de la discrimination fait honte.
C'est piteux et misérable.
Marc Knobel
Photo : D.R.