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Publié le 6 octobre dans France Culture
Pour parler des cuisines juives, ashkénaze et séfarade, ce dimanche nous recevons dans Les Bonnes choses :
Florence Kahn qui tient une boutique traiteur de gastronomie Yiddish dans le Marais à Paris et autrice du “Grand Livre de la cuisine juive ashkénaze” (Hachette Pratique) et de “Bagels, cheesecakes & autres recettes yiddish : delicatessen” (Editeur Mango)
"Entre Roch Hachana et Yom Kippour, il est de coutume de faire des Kapparot, autrement dit des expiations. Pour les symboliser, chaque personne doit prendre une volaille –un poulet pour les garçons et une poule pour les filles - et demander à l’abatteur rituel de tuer la volaille destinée à plus miséreux que soi".
"La cuisine de fête est une cuisine riche et surtout savoureuse, même si traditionnellement la cuisine ashkénaze est moins variée et plus simple que la cuisine séfarade".
Claudia Roden, écrivaine gastronomique, autrice de “Le livre de la cuisine juive” (Flammarion).
"Chaque pays, chaque région et quelques fois chaque ville à ses spécialités, surtout dans la culture séfarade, mais une constante de la cuisine juive est son symbolisme".
"Il y a toujours les recettes originales, mais peut-être que la transmission entre générations se perd du fait que les jeunes s’inspirent aujourd'hui des recettes sur internet, qu'ils les réinventent et les modernisent".