- English
- Français
Publié le 27 avril dans i24News
"Cette année, nous ne pouvons pas venir [sur vos tombes], nous ne pouvons pas être prêts de vous, nous ne pouvons pas vous embrasser", s'est-il désolé, en faisant référence à la fermeture des cimetières militaires en raison de la pandémie du Covid-19. "Voilà l'épidémie qui arrive et soudain, il semble que le monde tourne plus lentement (...) Cette année, nous ne pourrons pas pleurer ensemble."
"Cette journée a pour vocation de nous rappeler les deux promesses qui sont la base de la société israélienne : la promesse de construire à la sueur de nos fronts une vie respectable, sereine et sûre pour nos enfants, mais aussi la promesse de les ramener à la maison à tout prix, même ceux qui ne sont pas rentrés du combat."
"Les sirènes qui retentissent ce soir nous rappellent la souffrance de l’indépendance qu'Israël a acquise si durement", a pour sa part déclaré le chef d'Etat-major de l'armée, Aviv Kochavi.
Pour les soldats de Tsahal, [la protection du pays] n'est pas un défi limité dans le temps, cela renvoie à une menace qui pèse tout au long de l'année", a-t-il poursuivi. "Parfois, cette menace atteint nos familles, les laissant brisées et désespérées pour toujours."