De retour d’Israël après avoir fait partie de la délégation présidentielle, Gilles William Goldnadel estime que le plus important dans le discours de Nicolas Sarkozy à la Knesset était l’affirmation « de ne pas tolérer un Iran islamiste et atomique à la fois ». Au grand regret de l’avocat, « l’opinion publique française, et notamment sa jeunesse, au-delà de son évidente réprobation réflexe du régime des mollahs, n’a pas encore suffisamment et profondément pris conscience du danger que tous les pays, et pas seulement et évidemment Israël, courent le jour où la bombe tombera entre les mains des fanatiques révisionnistes, misogynes et homophobes de Téhéran ».
English
Français