« Les femmes, en Iran, sont victimes d’une large discrimination en vertu de la législation. Elles sont exclues des principaux domaines de la vie politique et n’ont pas les mêmes droits que les hommes en matière de mariage, de divorce, de garde d’enfants et d’héritage », explique à la Croix, Karin Lahidji, président de la Ligue iranienne des droits de l’homme et vice-président de la Ligue internationale des doits de l’homme.
Ces trois dernières semaines, une cinquantaine de femmes ont été condamnées à des peines similaires à celle de Nasrin Afzali, précise le quotidien.