On sait ce qui est arrivé. Au lieu de parler des droits de l’homme, des façons de mieux les appliquer, de leurs violations au nom d’idéologies, Durban I s’est transformé en tribunal anti-israélien et en forum antisémite. En 2009, Durban II, transféré à Genève, n’a pas empêché le président iranien de se livrer à des attaques contre Israël et les juifs.
Alors pourquoi fêter Durban I, cette défaite des droits de l’homme ?
Le Canada, Israël et depuis hier les Etats-Unis ont annoncé leur absence. Et la France ? Et les autres démocraties ?
Photo : D.R.