La situation économique du régime des mollahs est catastrophique, rappelle le site Internet Iran Resist (27 août 2008) : ses dépenses sont en hausse, en raison de la hausse du prix de l’essence qui est la principale importation iranienne, et en même temps ses revenus stagnent par la faute des sanctions qu’imposent les Américains à l’encontre des partenaires commerciaux de l’Iran. Après avoir relancé les chinois sur un contrat signé en mars 2008 et demandé le remboursement de vieilles dettes, Téhéran a décidé de réagir.
Il s’agit cependant de mesures conformes à sa décision de ne pas céder aux injonctions du Conseil de Sécurité à propos de ses activités nucléaires (…) La solution de Téhéran est donc d’offrir des contrats pétroliers plus avantageux à ses partenaires. Nozari, le ministre iranien de pétrole, a évoqué la mise en place de certaines facilités et d’incitations pour attirer les investisseurs étrangers, notamment les Turcs.
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